Y Dos her Dossiers héraldiques, 1920-2023 (Fonds)

Contexte de plan d'archivage


Zone d'identification

Cote:Y Dos her
Cote de gestion:W 66
Cotes anciennes:Dos her
Titre:Dossiers héraldiques
Dates:Dès les années 1920
Période de création:1920 - 2023
Niveau:Fonds
Importance matérielle:17 boîtes
Mètres linéaires:2,00

Zone du contexte

UD - Producteur des documents (Association): Archives cantonales vaudoises (collection)
Historique archivistique:L'ensemble de ces dossiers a été longtemps conservé au secrétariat des Archives cantonales, d'où il a été retiré peu après 2000 pour constituer le présent fonds - un inventaire provisoire a été établi en 2007 sur la base de celui des dossiers généalogiques.
Modalités d'entrée:Voir "Historique de la conservation".
Date d'entrée:11/11/1111

Zone du contenu et de la structure

Contenu:Documentation accumulée au fil des décennies concernant les armoiries tant institutionnelles que familiales, comprenant notamment de la correspondance échangée avec des personnes physiques ou morales demandant l'enregistrement de leurs armoiries, ainsi que des dossiers divers touchant la question héraldique, entre autres sous l'aspect juridique. Le fonds comporte quatre séries: C Communautés, G Généralités, F Familles, T Thématique, qui sont restées en partie embryonnaires. Les données les plus hautes de la série concernant des communautés ou des familles vaudoises ou ayant résidé dans le canton remontent au Moyen Âge.

Zone des conditions d'accès et d'utilisation

Règles d'accès:Libre (en raison de la nature des documents).
Conditions de reproduction:L'usage des armoiries familiales est décrit dans les ouvrages traitant d'héraldique (voir également le champ "Notes" pour le principe du port des armoiries familiales), à la différence de l'obtention et de l'utilisation d'armoiries communales qui sont soumises à l'autorisation de la commune concernée (loi fédérale sur la protection des armoiries et des autres signes publics du 21 juin 2013 (LPAP)).
Langue:Français
Caractéristiques matérielles:Papier; Photocopie; Photographie

Zone des sources complémentaires

Sources complémentaires:- Y 1 Base de données armoiries
- Y 2 Fichier héraldique
- K XVI d Armoiries communales
- P Joffrey
- P Loys 4590
- P SVG, H 26 : Charles-Philippe Dumont, Armorial général de la Suisse romande
- PP 458 : Corporation des artistes héraldistes suisses
- PP 459 : Armoiries des communes vaudoises
- PP 464 : Clavel (Abraham-Philibert)
- PP 764 : Armoiries Jayet, Châtelain successeur
Bibliographie:Héraldique

Georges de Crayencourt, Dictionnaire héraldique : tous les termes et figures du blason assemblés et illustrés, Bruxelles, 1974, X + 436 p.
Donald Lindsay Galbreath, Manuel du blason, nouv. éd. revue, complétée et mise au point par Léon Jequier, Lausanne, Spes, 1977, 344 p.
Gottfried Neubecker, Le grand livre de l'héraldique : l'histoire, l'art et la science du blason, adaptation française de Roger Harmignies, Paris, Bruxelles, Elsevier Séquoia, 1977, rééd. Paris, Bordas, 1993, 288p.
Michel Pastoureau, Traité d'héraldique, Paris, Picard, 1979, 366 p. (3e éd. 1997, 407 p.),
Jean-Pierre Chapuisat et Jean-Pierre Casolo, «L'héraldique aujourd'hui», dans Théodore Cornaz (1856-1938), héraldiste vaudois, Lausanne, 1988, pp. 16-17.
Pierre-Yves Favez, «Les armoiries de famille», dans Comment réaliser sa généalogie. Histoire de la famille. Origine des patronymes, Yens-sur-Morges, Cabédita, 1991, pp. 41-50.
Emmanuel de Boos, Monique Chastenet et Christian Davy, sous la direction de Michel Pastoureau et Michel Popoff, Les armoiries, lecture et identification, Paris, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Association Etudes, Loisirs et Patrimoines, 1994, 102 p.
Michel Pastoureau, Figures de l'héraldique, Paris, Gallimard, 1996, 144 p.
Jean Dubas, «Eléments d'héraldique pour composer de nouvelles armoiries, à l'usage des communes, en vue d'une fusion», dans Bulletin de l'Institut fribourgeois d'héraldique et de généalogie N° 31, avril 2001, pp. 6-17.
Claude Wentzler, Le guide de l'héraldique. Histoire, analyse et lecture des blasons, Rennes, Editions Ouest-France, 2002, 223 p.
Gérard Audoin, L'art héraldique : lire, décrire, composer des armoiries, Versailles, Mémoires et documents, 2006, 254 p.


Armoriaux régionaux

Charles Morton, Les anciens ex-libris héraldiques vaudois, Lausanne, Bindschedler, 1932, XII + 206 p.
Donald Lindsay Galbreath, Armorial vaudois, Baugy-sur-Clarens, 1934-1936, reed. Genève, Slatkine,1977, 2 vol.
Hubert de Vevey-L'Hardy, Armorial du canton de Fribourg, Belfaux, 1935-1943, rééd. Genève, Slatkine, 1978, 3 vol.
Donald Lindsay Galbreath, Inventaire des sceaux vaudois, Lausanne, Genève, etc., 1937, XIX «+ 340 p. + XXIV f. de pl.
Léon et Michel Jéquier, Armorial neuchâtelois, Neuchâtel, Ed. de la Baconnière, 1939-1944, 2 vol.
Armorial valaisan / Walliser Wappenbuch, Zurich, Orell Fuessli, 1946, XXIII + 304 p. + 40 pl.
Robert Marti-Wehren, «Die Familienwappen der Landschaft Saanen», dans Archives héraldiques suisses 60, 1946, pp. 64-73 pl. XV-XVII et 100-105 pl. XXVI-XXVII
Eugène-Louis Dumont, Armorial genevois, dessins d'André Le Comte, Genève, Ed. Atar, 1961, XVI + 453 p. + 88 pl., nouv. éd. revue et augm. Genève, Slatkine, 1977, XVI + 446 p.
Olivier Dessemontet, Armorial des communes vaudoises, dessins de Louis F. Nicollier, Lausanne, Spes, 1972, 269 p.
Nouvel armorial valaisan / Neues Walliser Wappenbuch, Saint-Maurice, Ed. du Scex, 1974-1984, 2 vol.
Les communes vaudoises et leurs armoiries, Chapelle-Vaudanne, Ed. Ketty & Alexandre, 1991-1995, 3 vol.
John Baud, Armorial du Chablais, Genève, Slatkine, Thonon-les-Bains, Archives de l'Académie Chablaisienne, 1993, 274 p.
François J. Rappard, Armorial vaudois (1936-1996), Genève, Slatkine, 1996, 106 p. + 132 pl.


Armoriaux locaux

André Kohler, «Un armorial du Pays d'Enhaut» [Armorial Favrod-Coune], dans Archives héraldiques suisses 24, 1910, pp. 191-194.
Philippe Cherix, La seigneurie de Bex, son histoire, ses habitants, Bex, Impr. F. Bach, 1931, pp. 62-79 + pl.
Dominique Henchoz, Le livre des bourgeois de Château-dOex, [Château-d'Oex], 1991, pp. 14-32 : armoiries des familles de Château-d'Oex jusqu'en 1923
Jean-Louis Martin, Saint-Cierges : histoire, images et souvenirs, Lausanne, 1994, pp. 227-240
La vallée des Ormonts : Ormont-Dessus, Ormont-Dessous, Lutry, H.-L. Guignard, 1994, pp. 100-101 (Ormont-Dessous) et 201-202 (Ormont-Dessus).
Françoise Maurer-Lemonnier, Les famillesde Villars-le-Terroir (VD), réalisé lors du 150ème anniversaire de la paroisse catholique, les 4 et 5 octobre 1997, dessins de Marcel Maurer, Payerne, Armoiries Maurer, 1997, 57 f.
1753-2003 : 250ème anniversaire / Société des Mousquetaires Yvorne, Yvorne, Société des Mousquetaires, 2003, pp. 26-30
Marcel et Françoise Maurer-Lemonnier, Armorial des familles ressortissantes de Bottens VD, réalisé à l'occasion du 800e anniversaire du village, Grandvaux, Atelier d'art héraldique M. et F. Maurer, 2007, 67 f.
Ollon, Villars, s. l., Association de l'Académie du Chablais, 2007, pp. 266-268.

Zone des notes

Notes:ACV Archives cantonales vaudoises
ACVs Archives cantonales du Valais
AFr Armorial du canton de Fribourg
AGe Armorial genevois
ANe Armorial neuchâtelois
AHS Archives héraldiques suisses
AV Galbreath, Armorial vaudois
AVR Rappard, Armorial vaudois
BEHG Bureau d'études héraldiques et généalogiques, Genève
BGV Bulletin généalogique vaudois
BHV Bibliothèque historique vaudoise
RGV Recueil de généalogies vaudoises
RHV Revue historique vaudoise

D Allemagne
F France
I Italie


LISTE DES COMMUNES pour lesquelles il existe des travaux héraldiques sur les familles du lieu

Bex
Bottens
Cadeanazzo (TI)
Château-d'Oex
Essertines-sur-Yverdon
Ollon
Ormont-Dessous
Ormont-Dessus
Porza (TI)
Saint-Cierges
Villars-le-Terroir
Yvorne



Principes pour le port des armoiries de famille du 1er janvier 1953 et appliqués par les Archives cantonales vaudoises

Avant-propos

Toute personne qui n'est pas familiarisée avec l'héraldique doit requérir un avis compétent, surtout lorsqu'il s'agit de créer de nouvelles armoiries. C'est la tâche des spécialistes, recommandés par les Archives, les Bibliothèques, les Musées ou les sociétés héraldiques, d'exercer une activité de conseillers, qui doit tendre à mettre ordre et simplification dans le domaine héraldique. En effet, les instituts scientifiques ne peuvent guère aller au-delà de la simple recherche d'armoiries.

Dans les principes et les remarques qui suivent, le terme de « famille » est employé dans le sens d'un petit cercle social, allant jusqu'à la cellule familiale (parents et enfants), en opposition au terme de « lignée » (lignée complète, lignée de même bourgeoisie, lignée de même village).


Principes

Personne ne doit reprendre intégralement les armoiries d'une lignée éteinte.

Il faut distinguer la reprise consciente d'armoiries et la création non-intentionnelle d'armoiries identiques, à savoir par l'emploi de meubles très courants, dérivés de professions ou de noms, meubles auxquels ne peuvent prétendre exclusivement certaines lignées ou certains rameaux. Toutefois, il faut au moins éviter la coïncidence de nouvelles armoiries avec celles de lignées vivantes ou avec celles de célèbres lignées éteintes du même endroit ou de la même contrée. Le procédé, cité sous la remarque 4 a, est aussi valable pour une nouvelle création d'armoiries.

La reprise d'armoiries par le beau-fils ou les enfants d'une fille, de même que par un fils adoptif, ne se justifie que si ces derniers reprennent en même temps les biens traditionnels de la lignée éteinte, et ne possèdent eux-mêmes aucune ou aucune bonne armoirie. En chaque cas, il est souhaitable d'apporter de légères modifications (brisures). On peut aussi envisager une réunion d'armoiries.

Les armoiries d'une lignée vivante ne peuvent être portées intégralement que par celle-ci.
Si le cercle des ayants-droit n'est pas déterminé par la tradition, il faut que la filiation remontant à un membre portant lesdites armoiries soit indiscutablement prouvée.

Seul appartient à une lignée celui qui est né de mariage légitime ou qui a été légitimé par le mariage subséquent de ses parents. Selon la conception traditionnelle, les enfants reconnus par les filles portent, ainsi que leurs descendants, les armoiries du père, avec une brisure ; mais les enfants illégitimes des femmes n'ont aucun droit aux armes de la famille donnant le patronyme. (L'opinion contraire, soit le droit aux armes intégrales du père, comme aux armoiries de la mère, est défendue par J.-O. Kehrli, suivant le Droit de famille du C.C.S, dans : «Der privatrechtliche Schutz des Familienwappens in der Schweiz seit dem Inkrafttreten des Zivilgesetzbuches », dans Zeitschrift des Bernischen Juristverein, Band 60, Heft 12(Biel 1924), p. 584.)

L'adoption ne confère pas non plus le droit aux armoiries de l'adoptant.

En ce qui concerne les noms très répandus, qui peuvent surgir partout de façon très autonome, il est à conseiller d'élucider, par des recherches généalogiques, s'il s'agit, en un endroit donné, d'une seule lignée, ou au contraire de lignées différentes portant un même patronyme.

Dans ses considérations sur le jugement du 4 décembre 1919 dans le cas Lauterburg-Berne (A.T.F. vol. 45 II, p. 624/25), le T.F. compte les armoiries de famille, comme désignation analogue au nom, parmi les droits de la personne qui sont protégés selon l'art. 28 C.C.S.

Par « tradition », il faut entendre les cas dans lesquels des armoiries, créées à l'origine par une famille déterminée, sont devenues par extension celles de toute la lignée, alors même que, dans une ville, l'origine commune ne peut être prouvée, par suite d'une série de réceptions à la bourgeoisie antérieures.

En ce qui concerne particulièrement les réceptions urbaines, cette disposition joue de la manière suivante.

Si une lignée bourgeoise a porté ailleurs des armoiries, avant sa réception à la bourgeoisie, les rameaux de cette lignée, admis postérieurement à la bourgeoisie, y ont aussi droit.

Si, au contraire, les armoiries n'ont été adoptées qu'après la réception à la bourgeoisie, seul le rameau qui les adopte y a droit, à l'exclusion des rameaux admis par la suite à ladite bourgeoisie ; à moins que le premier les y autorise expressément.

Le droit aux armoiries ne s'éteint pas du fait d'un départ et d'une perte de droit de bourgeoisie.

Voir aussi remarque sous 1 a.

Si une famille porte, par tradition établie, les armoiries appartenant, d'après les principes qui précèdent, à une autre lignée, elle peut les conserver, dans le cas où on ne peut plus lui demander d'y renoncer ; il est recommandé de porter dans ce cas une brisure.

Il ne peut s'agir que d'armoiries qui sont déjà portées depuis longtempspar une famille, et qui, fréquemment, ont trouvé accès dans des armoriaux imprimés. Mais la solution la plus correcte serait de renoncer, dans ce cas aussi, aux armoiries erronées.

La brisure peut être parfois une suppression simplifiantles armoiries.

Si une famille ne se trouve pas en possession d'armoiries qui lui appartiennent, il ne lui reste que l'abstention ou la nouvelle création. Les nouvelles armoiries doivent se distinguer visiblement par l'image et la couleur, de celles de lignées de même nom, avec lesquelles il n'existe aucune souche commune. Quiconque crée de nouvelles armoiries a le droit de fixer le cercle des ayants-droit.

Il faut examiner la provenance des armoiries dans d'anciennes collections (Dürsteler und Weiss, à Zurich ; Gatschet à Berne, etc.), sans indication précise de lieu ; elles proviennent souvent de lignées portant un nom identique ou analogue, mais de contrées fort différentes. Si la provenance ne peut être déterminée, l'utilisation de telles armoiries signifie la reprise d'une famille indéterminée de même nom, du temps passé. Rechercher les armoiries en remontant les sources présente surtout l'avantage de pouvoir choisir la meilleure des variantes.

Une lignée villageoise, ne possédant pas d'armoiries communes, peut porter celles qui proviennent d'un membre particulier, pour autant qu'elles s'y prêtent.

Le fait qu'une famille homonymique d'une commune voisine ou de la même contrée puisse porter les mêmes armoiries dépendra de leur contenu, de l'existence d'autres armoiries ainsi que du nom, selon qu'il laisse supposer l'existence d'une seule lignée ou de plusieurs lignées indépendantes les unes des autres.

Si la tradition fournit plusieurs armoiries pour une seule lignée villageoise, il faut déterminer, par des recherches généalogiques, avec quel porteur d'armoiries le rameau particulier est le plus apparenté. A défaut de pouvoir élucider ce point, on choisira les armoiries qui conviennent le mieux, ou on les utilisera comme point de départ pour une nouvelle création. Si les couleurs manquent, on pourra les reprendre aux armoiries de la commune d'origine.

De nouvelles armoiries devraient être publiées de façon appropriée, ou pour le moins être déposées dans la collection des Archives d'Etat dont elles relèvent et dans les Monumenta Heraldica Helvetiae de la Société suisse d'héraldique.

Sauf exception dûment spécifiée, le cercle des ayants-droit comprend les familles du même nom, bourgeoises de la même commune.

Celui qui est apparenté, par filiation, avec une famille portant armoiries mais qui n'est cependant pas en droit de porter les dites armoiries, en raison des principes qui précèdent, peut créer des armoiries analogues. Un accord avec la famille en question est à souhaiter.

Cette disposition est à considérer, en particulier, lorsqu'un rameau d'une lignée a émigré dans une autre contrée, surtout dans une ville, et y a créé des armoiries, tout comme dans le cas inverse, où des armoiries ont été adoptées à l'endroit d'origine après le départ de rameaux particuliers. Dans les deux cas, les armoiries n'appartiennent pas à toute la lignée.

Les armoiries analogues ne doivent contenir aucun meuble n'ayant un sens que pour l'autre rameau, comme, par exemple, des insignes de professions.

Comme on tend sans cesse à créer de nouvelles armoiries pour des rameaux particuliers, il faut accorder de l'importance aux mesures visant à parer à un éparpillement excessif dans le domaine héraldique.

Il va de soi qu'un rameau peut autoriser d'autres rameaux de la même lignée, démunis d'armoiries, à porter les siennes ; cela est même souhaitable, en cas de parenté rapprochée. Une autorisation générale, valable pour toute la lignée en question, de porter des armoiries qu'un membre a créées avec compétence et réflexion, ne peut se faire que lorsque l'origine commune est prouvée. La publication d'une chronique familiale ou d'un armorial offre entre autres la possibilité de mettre del'ordre dans le port des armoiries d'une lignée, en tenant compte des souches. S'il s'agit d'une famille point trop nombreuse, c'est l'occasion soit de créer des armoiries communes, soit de s'entendre pour des armoiries uniques.

Informations internes des archives

Notes de l'archiviste:Le fonds a été classé sur le modèle de celui des dossiers généalogiques. De 2007 à 2012, l'inventaire se présentait sous forme de tableaux répartis en quatre sections, soit F pour les familles, avec quatre colonnes pour le nom des familles, leurs commune d'origine, les renvois à des publications héraldiques (armoriaux) et des remarques (auteurs, dates de création, sources, etc.), C pour les communautés (communes, cantons, institutions diverses), aussi avec quatre colonnes (communautés, statut, renvois et remarques), T pour la thématique, cette fois avec trois colonnes (thèmes, renvois et remarques), et G pour les généralités, avec les mêmes colonnes. Ce répertoire a été importé dans scopeArchiv par Jérôme Guisolan en avril 2012. La cote Dos her a été dotée du préfixe Y en mai 2012.
Le fonds est ouvert et est donc destiné à s'enrichir de nouveaux dossiers.

Inventaires en ligne

Inventaire extrait de DAVEL:CH_ACV__INV_01__0000009491.pdf
 

Descripteurs

Entrées:  [armoiries] (Matières\ Subdivisions\de forme)
  héraldique (Matières\H)
  armoiries (Matières\A)
  armoiries - enregistrement (Matières\A)
 

Fichiers

Fichiers:
 

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Inventaires des Archives cantonales vaudoises