P Loys 2460 Testament de Théodore Ferrier des Etolles bourgeois de Genève. Il lègue 6000 florins à l'hôpital général de Genève, 4000 florins à la Bourse française, 300 florins à la Bourse allemande, 200 florins à la société pour l'instruction des catéchumènes, 400 florins à la bibliothèque publiqu

Zone d'identification Cote: P Loys 2460 Titre: Testament de Théodore Ferrier des Etolles bourgeois de Genève. Il lègue 6000 florins à l'hôpital général de Genève, 4000 florins à la Bourse française, 300 florins à la Bourse allemande, 200 florins à la société pour l'instruction des catéchumènes, 400 florins à la bibliothèque publique, 100 francs à l'école de charité de Lausanne, 600 florins aux pauvres honteux de Genève pour être distribués par le parterre Sarrasin. « Et comme c'est à Paris que j'ai gagné par la grâce de Dieu la meilleure partie du bien que je possède, je lègue aux pauvres de l'hôtel Dieu de Paris, 500 livres de France. » Il fait des legs à ses domestiques. Il lègue une rente annuelle de 400 florins à sa cousine, Mademoiselle Madeleine de Combes, avec un appartement dans sa petite maison. Il lègue à Lucrèce de Combes et à ses deux frères sergents à la garnison de Genève, neveux et nièces de Madeleine, 400 florins, à sa cousine Marie Bandier une rente annuelle de 15 florins, aux enfants de sa cousine Saissel-Blandin 300 florins, à Mademoiselle Susanne Barbe, sa parente, une rente de 100 livres. Il lègue 300 livres à Ami et Luis le Fort, ses beaux-frères, et à Catherine le Fort, sa belle-soeur, 3000 livres à sa filleule Elisabeth fille du conseiller Aimé de Chapeaurouge, son cousin germain, 150 livres à Monsieur l'aide major de Carro et à sa soeur, enfants de Madame de Carro, née de Chapeaurouge sa cousine, 150 livres aux deux filles de l'ancien auditeur Jean-Pierre de Levron ses cousines, à leur père un billet de 490 livres qu'il lui doit, à sa cousine Madame Martin de Chapeaurouge 300 livres. À sa nièce, Jeanne Ferrier, épouse de Robert Guillaume Rillet fille d'Elisabeth Rillet 400 livres à son fils Théodore Rillet et à la fille 300 livres, à Monsieur le ministre Théodore Perronet son parent et filleul 200 florins. À son épouse Madeleine Le Fort, ses provisions, la jouissance de son mobilier, une rente de 1500 livres toutes les tontines qu'il a constituées en France sur sa tête plus 300 livres plus les babillements de deuil. Il lègue à son gendre Jean-Louis de Loys des rentes viagères constituées en France sur la tête de sept personnes, l'autorise à prélever sur son bien ce qui manque 18000 écus que son épouse devait lui apporter. Il lègue à sa petite-fille Elisabeth de Loys 6000 livres qui devront lui être données à son mariage ou à sa majorité. Institue les enfants nés et à naître de sa fille Elisabeth Ferrier, épouse de Monsieur de Loys ses rentes sur l'hôtel de la ville de Paris, leur substituant Madame Jeanne de Rillet Ferrière pour 2 tiers le conseiller Aimé de Chapeaurouge pour un tiers. Enfin il institue sa fille Elisabeth, femme de Monsieur Jean Louis de Loys son héritière universelle. (1757 novembre 18) Homologation du dit testament par la justice de Genève (1759 décembre 26). Dates: 1757 novembre 18 - 1759 décembre 26 Période de création: 18/11/1757 - 26/12/1759 Niveau: Pièce Importance matérielle: 1 cahier
Zone des conditions d'accès et d'utilisation Règles d'accès: Libre. Langue: Français
Zone des notes Notes: Provient de l'inventaire de Maxime Reymond, pages 193-195.
Descripteurs
Entrées:	FERRIER (THEODORE, ALLIE LE FORT, BANQUIER, 1686-1758) (Personnes\F)
	FERRIER (MADELEINE, NEE LE FORT, 1711-1773) (Personnes\F)
	LOYS DE CORREVON (JEAN-LOUIS DE, ALLIE FERRIER, PUIS CRAMER, SEIGNEUR DE CORREVON ET CAPITAINE, 1726-1785) (Personnes\L)
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