Zone de la description |
| Dates d'existence: | 1948-1998 |
| Période d'existence: | 1948 - 1998 |
| Histoire: | Dénominations
- Policlinique psychiatrique: 1948-1958.
- Policlinique psychiatrique universitaire: 1958-1991.
- Policlinique psychiatrique universitaire A: 1991-1998.
- Policlinique psychiatrique universitaire B: 1991-1998.
Direction
- Pierre-Bernard Schneider, médecin-adjoint externe, puis médecin-directeur, puis directeur: 1948-1982.
- Marcel Burner, directeur ad interim: 1982-1989.
- Edmond Gilliéron, médecin-chef: 1989-1991.
- Edmond Gilliéron, médecin-chef A: 1991-1998.
- Jacques Besson, médecin-adjoint B: 1991-1998.
Autorités de tutelle et de surveillance
- Département de l'intérieur, Service des hospices : 1948-1956.
- Département de l'intérieur, Service de la santé publique : 1957-1970.
- Département de l'intérieur et de la santé publique, Service de la santé publique : 1970-1977.
- Département de l'intérieur et de la santé publique, Service de la santé publique, Secteur psychiatrique centre : 1977-1981.
- Département de l'intérieur et de la santé publique, Service de la santé publique et de la planification sanitaire, Secteur psychiatrique centre: 1981-1988.
- Département de l'intérieur et de la santé publique, Service de la santé publique et de la planification sanitaire, Secteur psychiatrique centre, Département universitaire de psychiatrie adulte : 1988-1992.
- Département de l'intérieur et de la santé publique, Service des Hospices cantonaux, Direction des institutions, Secteur psychiatrique centre, Département universitaire de psychiatrie adulte : 1992-1998.
Législation et réglementation
- Loi du 25 novembre 1958 modifiant celle du 28 mai 1956 sur les établissements hospitaliers cantonaux.
- Arrêté du 9 juin 1964 organisant l'Hôpital de Cery à Prilly et ses annexes et la Policlinique psychiatrique universitaire à Lausanne.
- Règlement du 12 juin 1987 sur les établissements et instituts sanitaires cantonaux.
Repères chronologiques
- 1913: une consultation policlinique de psychiatrie est instituée à Lausanne par Albert Mahaim, médecin-directeur de l'Asile de Cery. Elle est assurée de 1913 à 1918 par Henri Preisig, de 1918 à 1925 par Albert Mahaim lui-même, puis par Hans Steck.
- 1er novembre 1948: les consultations psychiatriques n'ont plus lieu dans les locaux de La Policlinique universitaire, rue César-Roux 19, mais dans des locaux indépendants de la rue Caroline 5, marquant ainsi la naissance de la Policlinique psychiatrique. Le médecin-adjoint externe et les deux médecins assistants qui assurent les consultations font cependant toujours partie du corps médical de l'Hôpital de Cery.
- 25 novembre 1958: création d'une policlinique universitaire indépendante de l'Hôpital de Cery, la Policlinique psychiatrique universitaire (PPU) est placée sous l'autorité directe du Département de l'intérieur.
- 1er avril 1964: ouverture au sein de la PPU du Centre psycho-social à la rue Saint-Pierre 1 qui s'occupe des cas d'urgence psychiatrique, des traitements à domicile et des traitements de cas chroniques difficiles.
- 1er avril 1988: nomination de Henri Dufour en qualité de chef du Département universitaire de psychiatrie adulte (DUPA); les services ambulatoires de psychiatrie adulte, dont la PPU, dépendent désormais du DUPA.
- Courant 1991, à la faveur des mesures de réorganisation du DUPA, la PPU est scindée en deux unités: la PPU A, ancienne Policlinique psychiatrique universitaire, et la PPU B, ancien Centre psycho-social. Elles dépendent respectivement du Service hospitalo-ambulatoire A, dirigé par Henri Dufour, et du Service hospitalo-ambulatoire B, dirigé par François Ferrero. La PPU A déménage de l'avenue Recordon 1 bis à l'avenue de Sévelin 18 et la PPU B de la rue Saint-Pierre 1 à la rue du Tunnel 1.
- Suite à une large consultation organisée en 1997, une nouvelle organisation du DUPA est en cours d'implémentation en 1998: la fusion des services hospitalo-ambulatoires A et B annonce la fin des deux policliniques psychiatriques universitaires dont les activités sont réparties dans de nouvelles unités, notamment le Centre de consultation psychiatrique et psychothérapeutique (CCPP). |
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