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| Histoire: | Mario Bonamici est né en 1912, à Paris (rue des Saules, à Montmartre). Il décède, le 10 avril 2002, à Lausanne. Il fut marié à Ignès "Lily" Bucher, d'origine suisse alémanique, de 17 ans sa cadette. Il est issu d'une famille italienne de peintres. Son père Lionello Bonamici se forma aux beaux-arts de Rome. Esprit aventurier il part pour Paris, en 1910 ; il trouve à Pau, une école de pilotage et se mit à construire des avions. Son fils, Mario suivit des études jusqu'à l'âge de 16 ans, puis, faute de moyens de son père, il fréquenta les cours aux arts décoratifs, et effectua les débuts de sa vie professionnelles, dans un des plus grands ateliers de Paris, chez Jarach et Chambry. Il fréquenta les milieux du théâtre, de cinéma et de peinture. Il put parfaire sa formation, à Milan, chez son oncle Strobel, très grand peintre du monde et presse. Il collabora aux dessins de mode de l'entreprise Charles Veillon SA, d'abord aux côtés de son père, dès 1929, alors que l'entreprise s'appelait encore "Junod & Veillon, successeurs de Girard & Cie" et était établie à La Chaux-de-Fonds, puis dès 1943, à Lausanne, sous le nom de Charles Veillon. Au moment où le dessin de mode fut abandonné, il prit la responsabilité de la mise en page des catalogues de mode de l'entreprise. Parallèlement à son oeuvre de peintre, il fut, durant les années 1950 et début des années 1960, un dessinateur de mode masculine pour le magasin de fourrures de Lausanne, Albert Bozdogan, le commerce lausannois de prêt-à-porter "Maison Bonnard" et Adler, à Genève pour plusieurs quotidiens de Suisse romande et de Suisse alémanique.
Dans son autobiographie, Mario Bonamici écrit : "J'ai eu la chance de vivre entouré d'artistes, grâce à mon père, un des premiers aviateurs peintres du monde. Le frère de mon père a créé en Italie toutes le spécialiste des opérettes de Franz Lèar. Mes autres oncles étaient presque tous des peintres de grand talent, aussi je continue de peindre en ayant toutes "inspirations", mais monthème favori reste la Femme." |
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