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Histoire: | Dans le courant de l'année 1973, le Service de médecine de l'Hôpital cantonal est devenu Département de médecine à la faveur d'un changement de direction. A l'occasion des réformes qui en ont découlé, la Division de pharmacologie clinique a souhaité établir une meilleure collaboration avec les autres secteurs de l'établissement dans le domaine de l'expérimentation clinique des médicaments, débouchant sur la réorganisation de la Commission des médicaments et sa mutation en Commission d'éthique du Département de médecine (cf. Compte rendu du Conseil d'Etat pour l'exercice 1973, Département de l'intérieur et de la santé publique, p. 45-47, Lausanne, 1974). Impliqué dès l'examen des premiers protocoles, le professeur Jean-Louis Schelling, responsable de la Division de pharmacologie clinique du Département de médecine, est devenu président de la Commission d'éthique au début de 1974.
La Commission d'éthique de la Faculté de médecine, présidée par le professeur Schelling, a été constituée en 1983. Cette dernière était destinée à étudier les protocoles de recherche émanant de membres de la Faculté, à l'exception des projets déjà approuvés par des commissions fonctionnant à l'intérieur de services hospitaliers. Cependant, en cas de litiges ou de projets soumis au Fonds national de la Recherche scientifique, la Commission d'éthique de la Faculté de médecine était habilitée à se prononcer sur des projets initiés par des services dotés d'une commission d'éthique (cf. SB 297 Département de psychiatrie CHUV: Commission d'éthique du Département universitaire de psychiatrie, 1982-2003). Au cours des années 1980, la commission est également progressivement nommée Commission d'éthique de la recherche clinique.
En 1992, Jean-Louis Schelling transmet la présidence de la Commission d'éthique DMI-PMU au professeur Jean-Jacques Gonvers et celle de la Commission d'éthique de la Faculté de médecine au professeur Jacques Diezi. |
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