Dandiran (Eugène)

 

Données de base

IdentifiantDandiran (Eugène)
 

Infos de prov.

Zone d'identification

Type d'entité:Personne
Forme(s) autorisée(s) du nom:Dandiran (Eugène)

Zone de la description

Histoire:Né à Paris en 1825, décédé à Lausanne en 1912, Jean-Jacques Eugène Dandiran est le fils de Alexandre-Pierre-Ursule Dandiran et de Jeanne-Louise, née Vignier. Il avait un frère : Frédéric François (né en 1802), issu du premier mariage d'Alexandre-Pierre-Ursule et d'Anne-Marie Déjean-Balguérie. Eugène Dandiran avait deux soeurs mais nous n'avons pas de renseignements à ce sujet. Il épousa en 1853 Elisabeth Claparède (fille de Jean-Louis et de Suzanne, née Perdriau). Ils n'eurent pas d'enfants et Elisabeth décéda en 1866. Eugène Dandiran se remaria en 1868 avec Louise-Marie-Ernestine, dite Emma Piguet (fille de Thomas et Marie, née Sannex). Ils eurent 5 enfants : Marguerite (-Louise) (1869-1939), Alice (1870-1957) - Edouard (-William) (né en 1873), architecte, Gabrielle (-Lucy) (1875-1958), Renée (Germaine) (1883-1972). Concernant la branche maternelle d'Eugène Dandiran, citons la famille Vignier de Genève. Celle-ci, originaire de Thiez en Faucigny (F), à laquelle appartient Claude Vignier, recteur de l'Ecole de Genève en 1539, procureur de la cour Lt., notaire. Sa descendance a donné douze notaires, de nombreux maîtres orfèvres et deux membres du CC. Elle compte entre autres personnalités : Jean-Pierre, 1738-1797, notaire, juge des Appellations 1787, châtelain de Peney 1788, membre de l'assemblée nationale 1793; Jacob, 1764-1824, avocat puis notaire, auditeur de la Justice, de l'Assemblée nationale 1793, du Conseil législatif 1796, du Conseil Représentatif 1814. La famille Vignier, encore représentée à Genève dans la seconde moitié du XIX e s., serait actuellement existante à l'étranger. Le nom de Mussard apparaît à plusieurs reprises dans le fonds. Famille de Châteaudun (Dépt Eure-et-Loir), dont la filiation ininterrompue remonte à Simon Mussard, fils de Jacques, de Dreux, orfèvre, bourgeois de Genève, le 25 juin 1579. Cette famille s'est beaucoup ramifiée, à Genève même et à Paris, Vienne et Saint-Pétersbourg. Les branches demeurées à Genève ont donné à cette villede nombreux membres du CC, du Conseil Représentatif et du Grand Conseil. En outre, la dynastie des Mussard dessinateurs, peintres, orfèvres, est représentée par une cinquantaine de noms. Le nom de Rodon, à l'instar de Mussard, figure plusieurs fois lorsque les Vignier traitait des affaires avec cette famille. Famille probablement dauphinoise, à laquelle appartenait David, 1600-1664, théologien et professeur de philosophie, né à Die, banni de France en 1663, qui obtint à Genève l'autorisation de donner des leçons particulières aux étudiants en théologie, auteur d'une vingtaine d'ouvrages. Jean-Pierre ou Pierre "Derodon", fils de feu Jacques, avocat au Parlement de Grenoble, reçu bourgeois de Genève le 17 décembre 1717 avec son fils Bénédict-André, et David "De Rodon", obtint la bourgeoisie de Genève le 5 juillet 1788, sont probablement de sa famille.

Informations internes des archives

Code d'identification:[01663]

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Identification et intitulé de la ressource associé:PP 831