Decoppet (Louise)

 

Données de base

IdentifiantDecoppet (Louise)
 

Infos de prov.

Zone d'identification

Type d'entité:Personne
Forme(s) autorisée(s) du nom:Decoppet (Louise)

Zone de la description

Dates d'existence:1937-
Histoire:Elle naît le 10 janvier 1937 à Lausanne. Déménagement à Yverdon la même année.
Ecole primaire (Yverdon) : 1943-1948
Ecole secondaire (Yverdon) : 1948-1953
Gymnase (Neuchâtel) : 1953-1956. Obtention du baccalauréat en 1956.
Ecole de laborantine (Genève) : 1956-1959
Ecole de photographie, BIKLA (Cologne) : 1959
Ecole d’Arts et Métiers (Vevey) : 1959-1962. Obtention du certificat de photographie en 1962.
Stage pratique de six mois (Lucerne) : 1960
Emploi chez Publicité Grütter (en laboratoire de photographie, à Genève) : 1963-1964
Stage photo couleur de deux mois chez Studio 13 (Zurich) : 1964
Mandats aux églises de Ressudens et de Thierrens ainsi qu’au collège de Payerne : 1965
Emploi à l’Atelier RKM (M. Rey, à Genève) : 1965-1966
Mandats à la rue d’Or de Fribourg et à l’église de Cheyres : 1966
Emploi chez Publi7 durant six mois (Genève) : 1967
Photographie de théâtre (Paris) : 1967-1969
Emploi en atelier (photographie de restauration) : 1968-1970
Atelier CREPHART (Le Lignon) : 1974-1978
Indépendante : 1978-1993
Emploi au Musée d’Yverdon : 2003-2016
Fin de l’activité : 2016
En juillet 2018, Louise Decoppet a fait le déplacement aux Archives cantonales vaudoises, dans le but de s’entretenir avec Gilbert Coutaz et Yannis Amaudruz au sujet de son parcours professionnel et d’identifier certaines photographies du fonds. Anne-Françoise Pelot était également présente à cette occasion.
Louise Decoppet a collaboré avec Théo-Antoine Hermanès. Selon les dires de Louise Decoppet, elle recevait de sa part des mandats successifs pour photographier les chantiers qu’il supervisait. Lorsque ceux-ci étaient achevés, ce n’est toutefois pas elle qui photographiait le travail final. A noter qu’elle était la seule photographe présente sur les chantiers sur lesquels elle collaborait.
Par ailleurs, elle a parfois recommandé les services d’Anne-Françoise Pelot, notamment pour des mandats privés. Elle précise qu’il n’était pas évident pour une femme, dans les années 1960, de se lancer dans une carrière de photographe. Elle relève que les conditions de travail sur les chantiers étaient parfois difficiles, notamment en ce qui concerne la manipulation du matériel nécessaire à la photographie.

Informations internes des archives

Code d'identification:[02093]

Relations avec des ressources archivistiques

Identification et intitulé de la ressource associé:PP 1079