LAUFER (HELENE, NEE GAUTIER, FEMINISTE ET ACTIVISTE SOCIALE VAUDOISE, 1882-1959) (Personnes\L)

 

Données de base

ThésaurusPersonnes
DésignationLAUFER (HELENE, NEE GAUTIER, FEMINISTE ET ACTIVISTE SOCIALE VAUDOISE, 1882-1959)
DescriptionHélène Laufer-Gautier est née à Lausanne et décédée à Morges. Ses parents, Lucien Charles Gautier, docteur en philosophie et en théologie, professeur de théologie à la faculté libre de théologie de Lausanne (17.8.1850 à Genève - 2.2.1924 à Cologny, Genève) et Berthe Victoire Gautier-Hentsch, dite Bertha, commanditaire de la banque Hentsch (8.3.1858 à Genève - 18.11.1939 à Chêne-Bougeries, Genève), se sont mariés à Genève le 8 juillet 1878. Elle eut quatre frères et soeurs: Aloys Raoul Gautier-Naville, Pasteur, marié et 4 enfants (20.5.1879 à Lausanne - 1944), Leopold Alphonse Gautier-Savary, directeur du collège de Genève, marié et 2 enfants (7.5.1884 à Lausanne - 1973), Charles Frédéric Wilhelm Gautier-Pictet, banquier chez Pictet & Cie, marié et 5 enfants (1886 - 1974) et Marie Pauline ou Marie Renée Gautier (15.6.1891 à Lausanne - 1980). Le 11 juillet 1912, elle épousa Paul Louis Laufer, professeur de théolgie (né en 1871), dont ils eurent quatre enfants: Antoinette Laufer, André Laufer-Coleridge (16.2.1916 à Lausanne - 10.3.2011 à Lausanne), Marianne Laufer (1919 - 12.3.2011 à Morges) et Véronique Henriette Laufer, pasteure (née en 1921/1923). Mme Hélène Laufer à été au début étudiante à la maison, puis en 1894, entra à l'Ecole secondaire pour jeunes filles à Lausanne, devenue plus tard l'Ecole Vinet (qui fut créée en 1938). A 25 ans, elle aura son bac et à 26, elle vivra le monde universitaire. Elle passera une dizaine d'années à Genève, à étudier les Beaux-Arts, faire de l'équitation, servir le thé. Elle prendra une part active dans le mouvement de Sainte-Croix et dans l'Association Chrétienne d'Etudiants (ACE). Elle consacrera et sera active sur le plan social dans une douzaine d'organisations aussi diverses, mais très engagée en particulier avec le Service Féminin en collaboration avec une assistante dans la police, et avec le Jeunesse-Club qui réunissait des jeunes filles en place dans des familles. FONDATRICE ET PRESIDENTE DES DAMES DE MORGES
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