Description | La famille se réfugie aux Pays-Bas puis en Suisse. Elle obtient la bourgeoisie de Genève en 1717 et celle de Duillier en 1829.
Originaire du Poitou où elle est attestée dès 888, la famille de Saint-George se divise en plusieurs branches. Celle qui intéresse le Pays de Vaud est celle dite de Marsay; ayant adhéré à la Réforme, elle lui reste fidèle lors de la Révocation de l'Edit de Nantes en 1685. Armand-Louis de Saint-George, comte de Marsay, quitte la France vers 1715 et est chargé par le roi George Ie d'Angleterre de le représenter auprès de la République de Genève et du Corps helvétique dès 1717. Il s'intègre en vendant ses biens situés en France, en obtenant la citoyenneté de Genève, en épousant en deuxièmes noces Henriette de Mestral (1724) et en acquérant la seigneurie de Changins (1730).
Marguerite de Saint-George, fille de Louis, chevalier et seigneur de Boissec et Londigny (Charente) se marie en 1620.
Selon Chastellain : la famille de St-Georges était à Perroy en 1607, avec un décès en 1746. Le comte de Marcey (Marsay) a été envoyé à Genève par sa Majesté Britannique en 1724 (registre de Vullierens) en 1768 (registre de Collombier). Le comte de St-Georges était à Aubonne en 1763. De Saint-Georges : seigneur de Chardonney-sur-Morges, Lausanne en 1816. |